~ Identité ~
¤ Nom : Kumiko-Sachiko
¤ Prénom : Nerys Hara
¤ Surnom : Nerra
¤Date de naissance : 21 mars 1989
¤ Age : 17 ans
¤ Nationalité : française
¤Origine : inconnue
¤ Sexualité : hétérosexuelle
~ Physique ~
¤ Taille : 1m63
¤ Poids : 55 kilos
¤ Yeux : verts bleus, changeant selon le temps
¤ Cheveux : d’un joli brun à tendance auburn en été
¤Tenue vestimentaire : variés mais souvent élégante et coordonnées avec son corps agréable
¤ Autres détails : Elle n’est pas spécialement belle mais elle n’est pas laide. Elle a des formes et sait se mettre en valeur sans être provocante, simplement incroyablement élégante, stylée et agréable à l’œil ^^…
Et elle a aussi une grande cicatrice dans le dos qui peu à peu s’estompera pour ne laisser paraître qu’une très fine rayure.
~ Personnalité ~
¤ Qualités : généreuse de nature, elle sait aussi aller vers les autres, même si elle peut se montrer de premier abord froide et timide, distante ou renfermée sur elle-même. Elle aussi travailleuse, et à l’écoute des autres, elle a aussi un esprit très ouvert.
¤ Défauts : elle sait être très froide, parfois aller jusqu’à la cruauté si on ne la respecte pas, en fait, avec elle c’est du donnant-donnant, selon la couleur de la pièce elle vous renvoie quelque chose d’équivalent, mais ses amis connaissent une grande fidélité et une grande générosité de sa part. Par contre si elle est perturbée par quelque chose, profondément blessée, ou autre, elle change du tout au tout, …
¤ Vos Hobi(e)s : écrire ce qu’elle ressent, ce qui lui arrive en plus d’un roman qu’elle a commencé récement.
¤ Ce que vous détestez :
¤ Vos projets futurs : devenir bibliothécaire spécialisée en histoire, ou professeur d’histoire
~ Informations personnelles ~
¤ Histoire :
La petite Nerys Hara Kumiko-Sachiko a une histoire bien particulière. Née le 6 janvier 1989 sous X, dans une clinique parisienne privée elle est donc enlevée à ses véritables parents et emmenée dans un orphelinat. Le seul souvenir que ses géniteurs lui ont laissés est sont prénom : Lyndie. Elle est adoptée par la famille Jaquenet, famille sans histoire autre que l’impossibilité d’avoir des enfants et vivant dans la capitale française avec qui elle vivra pendant trois ans, la famille disparut un jour sans laisser de trace … Elle retourna dans l’orphelinat, ballottée dans quelques familles des environs dans lesquelles elle ne resta pas.
Elle ne comprit jamais quel rôle avaient ces gents chez qui elle arrivait et vivait pendant quelques semaines avant de retourner dans l’orphelinat. Pour elle ils étaient juste des gents de passage auxquels elle ne s’attachait donc pas, étant jeune cela lui paraissait normal, ne connaissant rien de la vie. A l’orphelinat elle allait dans les mêmes instituts que les autres orphelins et qui étaient propre à la fondation, mais quand elle était placée en famille elle allait souvent dans les écoles extérieures, celles proches des familles d’accueilles. Elle remarqua que les autres enfants avaient un «papa» et une «maman», mais qu’est-ce qu’un «papa» et une «maman» ? Elle demanda à la mère de famille chez qui elle était à ce moment là, qui lui répondit «une maman est une femme qui prend soin d’un enfant avec amour et passion, et un papa est un homme qui prend soin d’un enfant avec autant de passion et d’amour que la mère». La mère de famille lui dit cela avec beaucoup d’amour et un gros câlin, mais malgré cela, Lyndie ne comprenait pas, elle devait avoir 4 ans quand cela se produisit. Au début elle se contenta de cette définition, mais, bien qu’entourée d’affection et de soin, elle sentait au fond d’elle-même que ses parents n’étaient pas là … Bien que jeune elle était assez précoce dans certains résonnements … Mais ce qui lui mit la puce à l’oreille,ce fut à l’école, quand elle pensait encore que tout ces gents chez qui elle allaient étaient ses papas et ses mamans. Elle demanda naïvement à une fille de son age combien elle avait de parents, celle ci répondit avec un air évident « un papa et une maman ! Pourquoi ? ». Quand Lyndie répondit qu’elle en avait tout plein, tout le monde se moqua d’elle, elle ne comprit pas. En tout cas jusqu'à ce qu’une petite fille se mette à crier dans la coure de récrée « Lyndie elle a pas de vrais parents ! », ce qui perturba cruellement Lyndie ... Elle voulut alors rechercher ses parents, ses vrais parents, refusant de rester dans des familles, d’appeler des hommes et des femmes étrangères «papa» et «maman». Elle devint une véritable peste pour les personnes qui l’entouraient, cependant elle continua à retrouver l’orphelinat, à être placée, telle une ronde sans fin de visages, de disputes, de séparations et de retour a l’orphelinat …
Un jour, ce ne fut pas un couple qui vint la chercher à l’orphelinat mais un homme grand, à l’accent anglais et habillé en homme d’affaires. Elle avait 6 ans. Mais ce fut le seul avec qui elle vécu le plus longtemps. Pendant sept ans elle le suivait où il allait, lors de ses voyages aux quatre coins du globe, revenant toujours vivre dans Paris une fois les affaires terminées. James Peterson avait toujours quelque chose à faire quelque part, et il s’absentait très régulièrement trois quatre jours (par semaine environ), laissant Lyndie à la garde d’une très bonne nurse irlandaise et à la femme de ménage. Lyndie apprit beaucoup de choses à ses cotés, tout d’abord elle trouva une stabilité, un repère et le considéra comme, non pas son père, mais un tuteur, presque un parent. Il s’établit entre elle et lui un rapport de profond respect, d’échanges constant sur différents domaines … Lyndie eu alors confiance en quelqu’un. Mais il ne faut pas croire que cela fut facile pour elle ou pour cet homme, ce fut long à acquérir et très douloureux. Cependant, l’homme qui ne s’attendait nullement à ce qu’on l’appel «papa» dans cette démarche accepta d’être le tuteur de l’enfant, de n’être que «James» pour la petite, mais il parut assez froid bien que protecteur et toujours présent, Lyndie ne comprit jamais pourquoi il avait choisit d’adopter un enfant si ce n’était pas d’apparence pour fonder une famille … Ils allaient souvent aux USA, là-bas, il semblait faire partit d’un grand projet, il y avait même des armes, ce qui ne choqua pas Lyndie, car elle pensait qu’aux USA tout le monde en avait au moins une. Il apprit même à Lyndie à tirer avec un Walther P99, Lyndie en fut fort surprise d’ailleurs, mais il faut avouer que ça ne lui déplut pas, ils allaient souvent s’entraîner tous les deux, le soir, près du chalet que James louait dans la campagne américaine. Il lui en offra même un pour ses 11 ans, elle ne l’utilisa qu’en Amérique, en s’entraînant avec son tuteur et le laissa d’ailleurs dans le chalet …
Elle crut avoir enfin avoir trouvé son équilibre, et se sentait même heureuse, elle avait son collège à Paris où elle allait régulièrement, elle avait quelques amis, elle avait son chez sois, l’appartement de James, partait tout le temps l’accompagner dans ses déplacements pendant les vacances, ce qui lui permit d’améliorer son allemand et son italien, l’anglais étant devenu pour elle une seconde langue «maternelle». James avait même offert des animaux à Lyndie : un chat, un chien et des gerbilles. Malheureusement, le destin changea à nouveau de tonalité. Un jour, après les cours, Lyndie fut ravit de rentrer chez elle car son cher James était à la maison, elle prit l’ascenseur comme à ses habitudes, monta jusqu’au dernier étage, sortit les clefs de la poche de sa veste, enfonça la grande clé ronde argenté, la tourna dans la serrure, poussa la porte, … et trouva l’appartement, son cher repère, totalement mis à sac, détruit, comme si il y avait eu une tempête. Son cœur faisait des bons dans sa poitrine, elle marcha dans le couloir lentement jusqu’au salon, et découvrit avec horreur la bonne éventrée, et la nurse fusillée, elle pleura debout face au massacre de deux femmes, soudainement une main d’homme se posa sur sa bouche et lui dit doucement de ne pas crier ni de faire de mouvement brusque … Un homme l’emmena rapidement hors de l’appartement, hors de l’immeuble, hors de ce qu’elle connaissait. Elle ignorait où elle allait, ce qui lui arriverait … La voiture roulait, son univers s’éloignait … Elle entra dans un autre monde fort cruel et pourtant façonné par les hommes …
Quand elle ouvrit les yeux, ce fut dans une chambre d’hôtel près d’une gare. Elle était vêtue d’un pyjama, allongée dans un lit. Elle se leva, observa ce qui l’entourait, avec un mal de crâne certains. En plus elle ignorait qui elle était. Elle trouva sur une chaise des affaires d’écolières et un sac en bandoulière. Elle ouvrit le sac et trouva dedans un bloque note, un crétérium, une gomme, un portable, un paquet de mouchoir et un portefeuille. Elle feuilleta le bloque note, et ne trouva qu’a la première page une inscription en italien « Canta per me ne addio quel dolce suono del passati gioni me simpre ramenta » qu’elle comprit de suite « chantez pour moi un adieu ce doux son des jours passés qui me ramène a vous ». Au début cela lui parut bizarre de comprendre mais ne s’y attarda pas trop. Elle se demanda juste pourquoi cette note avait été prise … Puis elle ouvrit machinalement le porte feuille, il y avait de l’argent, une carte de crédit, avec le code noté sur un bout de papier, des cartes de différentes boutiques, … Elle découvrit aussi une carte d’identité avec un nom : Kumiko-Sachiko, un prénom : Nerys Hara, une date de naissance : 21 mars 1989, un lieu de naissance, une adresse (d’une résidence pavillonnaire), … Elle eu un grand moment de panique, qui était cette fille ? Elle regarda la photo d’une assez charmante demoiselle, puis se regarda dans un miroir, elle ne pu croire que cette Nerys Hara c’était elle, un seul prénom trottait dans sa tête quand elle se demandait qui elle était, bien qu’il est encore trop éloigné pour réellement le distinguer … Mais elle trouva aussi dans son sac deux lettres, l’une venant d’une certaine madame Kumiko-Sachiko qui lui disait en gros qu’elle l’aimait beaucoup, qu’elle allait lui manquer, que toute la famille est derrière elle, lui souhaitant une grande chose dans l’Ecole Little Dream, ect … Donc, Nerys Hara ne croyait pas un mot de la lettre, enfin, son cœur lui hurla que c’était faux, elle prit seulement en compte le contenu, remettant à plus tard la réalité du document. Ensuite elle lu la seconde enveloppe qui avait était ouverte, elle était admise à Little Dream, le directeur l’en félicitait … Il y avait l’adresse et elle devait prendre le train pour arriver à l’école, se présenter dans le hall, et commencer sa scolarité. Une autre chose étrange l’intrigua encore, dans l’enveloppe de Little Dream, elle avait une sorte de carte d’identité d’étudiante sous forme de simple feuille de papier, et dessus il y avait en plus de son non, prénom, sa date d’anniversaire, ect … Son animal : le milan royal noir, elle se demanda ce que c’était, surtout qu’il se classait dans la faculté magique …
Elle prépara donc ses affaires, elle découvrit dans une armoire de la chambre des vêtements et une valise, dans la salle de bain des produits de soins et d’hygiène, … Elle s’habilla en tenue d’écolière, partit acheter un ticket de train, et le lendemain se rendit le jour de la rentrée dans l’école, elle n’avait pas tellement d’autre choix et ne savait pas ce qu’elle ferait autrement. Dans le train elle découvrit vite une passion réapparut pour passer le temps : l’écriture, et décida même de commencer un roman racontant son histoire depuis son réveil dans la chambre d'hotel.
L’histoire commence donc devant la porte d’entrée de Little Dream…
(Note : Lyndie = Nerys Hara => bien qu’elle ignore qui elle est, elle n’est pas froide, elle va réapprendre à se connaître, découvrir qui elle est, ect … Elle est pourvu de sentiments)
~L'animal que vous incarnez~
¤Votre animal : le milan royal noir (un rapace)
¤Autres précisions : ses yeux ne changent pas de couleur après sa transformation, ils restent bleu-vert, sa taille est un peu plus grande que la taille des véritables milans (étant de 550 mm au lieu de 530) et elle est beaucoup plus puissante que n’importe qui sous cette forme, elle à même la capacité de faire bouger les objets.
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